Pablo de Julie Birmant et Clément Oubrerie
Ce que j'en pense: J'ai lu beaucoup d'avis sur sur Pablo sur la blogo notamment durant un des mercredis BD. Du coup, quand je l'ai trouvé à la Médiathèque, je me suis dit que ce ne serait pas mal de tenter moi aussi l'aventure.
Cette série retrace la vie de Pablo Picasso. Je ne connaissais pas grand chose de ce peintre. A part, le tableau Guernica ou encore celui des Demoiselles d'Avignon, j'avoue que Pablo Picasso, je ne le connaissais pas. Pour le coup, cela a été une véritable découverte. Nous découvrons le peintre à travers le regard de Fernande qui sera son premier grand amour. On y voit un Pablo Picasso obsédé par ces peintures, un peu coureur de femmes et bon vivant. Malgré tout cela, j'ai trouvé l'intrigue molle. Je me suis un peu ennuyée.
On croise beaucoup de personnages célèbres dans cette BD et cela est très agréable de reconnaître tel ou tel artiste et de partager un petit morceau de leur vie. Je n'ai pas trouvé le personnage de Pablo peu attachant. J'ai préféré largement le personnage de Fernande, beaucoup plus humain et attachant que celui du peintre. Finalement, le personnage principal est Fernande. Elle emplit totalement de sa présence la BD et c'est son regard qui nous est livré en permanence.
J'ai trouvé le texte un peu moyen. Les dialogues ne sont pas très accrocheurs et je n'ai pas du tout aimé la police choisit pour écrire le texte. Déjà que le texte est bof, la police rend le texte quasi illisible.
Quant aux illustrations, malheureusement, elles ne m'ont pas particulièrement plus. j'ai trouvé les couleurs fades et le dessin ne m'a pas conquis.
Bref: Je n'ai pas du tout accroché à cette série.
Cette chronique fait partie de la BD de la semaine. Cette semaine c'est chez Jacques
3 commentaires:
Je n'ai accroché qu'au premier. Après, je me suis ennuyé.
Je n'ai pas tout apprécié cette BD. Je n'ai pas réussi à m’intéresser à l'histoire, et les illustrations ne m'ont pas plu du tout.
Je suis comme vous et je n'ai pas vraiment apprécié cette lecture. Dommage car l'idée de départ est bonne.
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