jeudi 18 août 2011

La rentrée littéraire 2011

Le mois de septembre arrive à grand pas et par conséquent, la rentré littéraire suit de très près. j'ai fait une petite sélection des livres qui vont sortir ou qui sont déjà sortis courant du mois d'août.

Tuer le père d'Amélie Nothomb, Albin Michel, Août 2011, 15.20€

La quatrième de couverture: Allez savoir ce qui se passe dans la tête d’un joueur. »Amélie Nothomb est née à Kobé en 1967. Dès son premier roman Hygiène de l’assassin paru en 1992, elle s’est imposée comme un écrivain singulier. En 1999, elle obtient avec Stupeur et tremblements le Grand Prix de l’Académie française. Tuer le père est son 20e roman. 
Ce que j'en dit: Comme chaque année Amélie Nothomb sort un livre pour la rentrée littéraire. Elle fait partie de mes auteurs dits "valeur sûre", son livre rejoint donc ma wish- list.                                          


Les souvenirs de David Foenkinos, Gallimard, Août 2011, 17.58€

La quatrième de couverture: Le narrateur, apprenti romancier, prend conscience à l’occasion du décès de son grand-père de tout ce qu’il n’a pas su vivre avec lui. Il comprend que le seul moyen de garder l’amour vivant est de cultiver la mémoire des instants heureux. Dans le même temps, frappée par le deuil, sa grand-mère semble perdre la tête. Il assiste aux manœuvres des proches pour la placer en maison de retraite et vendre à son insu son appartement. Ce qu’il n’a pas su vivre avec son grand-père, il décide alors de le vivre avec elle. Il va la voir souvent, parvient à égayer sa solitude, à la faire rire de tout. Mais elle finit par apprendre que son appartement a été vendu, et fait une fugue…
Le narrateur va partir à sa recherche, et la retrouver pour lui offrir ses derniers moments de bonheur. Le hasard lui fait en même temps rencontrer Louise, qu’il va aimer, et qui le quittera. Les souvenirs, nourris de joies, de douleurs et de mélancolie, lui offrent désormais la possibilité d’écrire son roman – et peut-être son avenir.
David Foenkinos nous offre ici une méditation sensible sur le rapport au temps et sur la mémoire. Les rapports entre générations, les sentiments enfouis, les déceptions de l’amour, le désir de créer, la tristesse du vieillissement et de la solitude, tout cela est exprimé avec une grande délicatesse, un humour léger et un art maîtrisé des formules singulières et poétiques.                                           
Ce que j'en dit: Pas trop emballée par la quatrième de couverture. J'attends de découvrir l'auteur avec La délicatesse.


Rien ne s'oppose à la nuit de Delphine de Vigan, Lattès, Août 2011, 18.05€

La quatrième de couverture: La douleur de Lucile, ma mère, a fait partie de notre enfance et plus tard de notre vie d’adulte, la douleur de Lucile sans doute nous constitue, ma sœur et moi, mais toute tentative d’explication est vouée à l’échec. L’écriture n’y peut rien, tout au plus me permet-elle de poser les questions et d’interroger la mémoire. La famille de Lucile, la nôtre par conséquent, a suscité tout au long de son histoire de nombreux hypothèses et commentaires. Les gens que j’ai croisés au cours de mes recherches parlent de fascination ; je l’ai souvent entendu dire dans mon enfance. Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du Verbe, et celui du silence. Le livre, peut-être, ne serait rien d’autre que ça, le récit de cette quête, contiendrait en lui-même sa propre genèse, ses errances narratives, ses tentatives inachevées. Mais il serait cet élan, de moi vers elle, hésitant et inabouti. » Dans cette enquête éblouissante au cœur de la mémoire familiale, où les souvenirs les plus lumineux côtoient les secrets les plus enfouis, ce sont toutes nos vies, nos failles et nos propres blessures que Delphine de Vigan déroule avec force.                                           
Ce que j'en pense: Un livre qui j'espère tient ses promesses.


Remède Mortel d'Harlan Coben, Belfond, Septembre 2011, 20.90€

La quatrième de couverture: Après Sans un adieu, un nouveau collector publié en 1991 aux Etats-Unis signé par un jeune Harlan Coben diabolique à souhait.
 Une clinique new-yorkaise hautement sécurisée.
Un médecin qui se suicide.
Des patients sauvagement assassinés.
Coïncidences ? Complots ?
Et si l'annonce prochaine d'une extraordinaire découverte médicale avait déclenché cette vague meurtrière ?
 Sara Lowell, jeune journaliste très en vue, mène l'enquête.
Mais ses révélations pourraient bien faire d'elle la prochaine victime d'un serial killer...
 Guerre des lobbies pharmaceutiques, machination politique, pression des médias, mensonges... Au coeur d'un débat toujours aussi brûlant, un thriller angoissant et terriblement réaliste par celui qui allait devenir le maître de vos nuits blanches. 
Ce que j'en pense: Il faut absolument que je trouve un moyen de l'avoir!!!!! Nom d'un chien je l'aurai!


Les hommes cruels ne courent pas les rues de Katherine Pancol, Pointdeux, Septembre 2011, 9.41€

La quatrième de couverture: Le père de l'héroïne, homme cruel et fascinant, a disparu.
Pour oublier, elle part à New York. Mais ni son amie Bonnie ni le frozen yoghourt ne suffisent à la consoler. Heureusement, Allan surgit, insaisissable, beau comme un dieu. Celui-là, il ne faut pas le laisser échapper. Entre souvenirs de petite fille et stratégies de séduction, Katherine Pancol dresse le portrait pétillant d'une femme d'aujourd'hui.       
Ce que j'en pense: HiiiiiiiHiiiiii (petits cris hystériques)



Dans les forêts de Sibérie de Sylvain Tesson, Gallimard, Septembre 2011, 17.01€

La quatrième de couverture: Assez tôt, j'ai compris que je n'allais pas pouvoir faire grand-chose pour changer le monde. Je me suis alors promis de m'installer quelque temps, seul, dans une cabane. Dans les forêts de Sibérie.
J'ai acquis une isba de bois, loin de tout, sur les bords du lac Baïkal.
Là, pendant six mois, à cinq jours de marche du premier village, perdu dans une nature démesurée, j'ai tâché d'être heureux.
Je crois y être parvenu.
Deux chiens, un poêle à bois, une fenêtre ouverte sur un lac suffisent à la vie.
Et si la liberté consistait à posséder le temps ?
Et si le bonheur revenait à disposer de solitude, d'espace et de silence – toutes choses dont manqueront les générations futures ?
Tant qu'il y aura des cabanes au fond des bois, rien ne sera tout à fait perdu.
Ce que j'en pense: Pas du tout tenté mais bon...


En espérant que vous trouverez votre bonheur parmis ma petite sélection. Bonne rentrée à tous!





Les prix indiqués sont issus de la Fnac.

1 commentaire:

pom' a dit…

j'ai bien aimé "la delicatesse", je vais me laisser séduire par les souvenirs et par le livre de K.Pancol